Actualités
L'utilisation du copyleft impose une obligation de fournir les sources du logiciel publié sous cette licence. Ces sources doivent être complètes "rien ne doit manquer" et correspondre effectivement au binaire fourni. Or, il existe une opération technique de compilation assez simple à réaliser pour vérifier le respect de cette contrainte légale.
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La FSF France appelle à la création d'une association de mutualisation des machines sous-utilisées. Le matériel informatique est utilisé en moyenne à moins de 50% de ses capacités. Une structure associative qui organiserait le rassemblement et la gestion collective de machines permettrait de maximiser les 50% restants au bénéfice d'un plus grand nombre d'utilisateurs.
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Face aux risques encourus par l'utilisation du SaaS, la FSF France met des machines virtuelles à disposition des développeurs. Comme Richard Stallman l'écrivait il y a plus d'un an, recourir aux services d'un SaaS, tel que Google docs, suppose de lier son travail et ses données personnelles au bon vouloir d'une entreprise privée. Bénéficier de la facilité de ne pas avoir à installer un logiciel sur son propre ordinateur revient à éditer ses documents ou ses photos chez un inconnu.
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La licence GNU AGPL adapte l'idée du copyleft à l'ère des réseaux. Bien que l'effort demandé pour respecter ses termes soit assez faible, il est intéressant de l'automatiser. Avec un module Twisted, publié dans le cadre d'un jeu en ligne, ce travail est partiellement automatisé.
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La FSF France met à disposition d'OpenStreetMap une machine pour le traitement de données cartographiques à visée humanitaire. Selon le principe de Wikipédia, OpenStreetMap propose depuis 2004 des cartes géographiques sous licence libre, dont les informations cartographiques sont mises à jour par les utilisateurs.
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Une rencontre avec Roberto Di Cosmo, chercheur à l'IRILL, a débouché sur l'installation de nouvelles machines dans les locaux parisiens de cet institut. Six machines, dont trois données par Intel, l'appui des équipes réseau de l'INRIA et l'hébergement dans les murs de l'IRILL illustrent une nouvelle fois la dynamique de l'écosystème logiciel que représente la ferme de compilation GCC de la FSF France.
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La FSF France propose une plateforme d'hébergement pour soutenir des projets en rapport avec le logiciel libre, grâce au soutien de SFR. Ce service repose sur la récupération de machines qu'il faut installer et faire fonctionner. C'est au hasard d'une discussion sur le web que Maxence Dunnewind, Rennais, découvre que la FSF cherche quelqu'un pour s'occuper de machines qui vont être localisées à Rennes ...
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La FSF France s'inscrit dans la problématique de l'autonomie de l'utilisateur face aux technologies de l'information. Elle donne aux projets qu'elle soutient les moyens d'appliquer le principe de la durabilité numérique.
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Parmi les forges actuellement disponibles sur le Web, Savannah et Gna! sont dédiées à l'hébergement exclusif de projets de logiciel libre. A la différence de l'hébergement classique, le développeur attend d'une forge la fourniture d'outils pour mettre en place un projet qui puisse s'ouvrir à d'autres collaborateurs et permettre un travail en équipe. Un service qui repose sur la mise en place d'une méthodologie efficace et le ressort de contributeurs dévoués.
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Tatoeba est un outil collaboratif de traduction de phrases d'exemples (Tatoeba signifie "par exemple" en japonais). Il est un des projets hébergés et soutenus par la FSF France. C'est une jeune femme, Trang Ho, qui est à l'origine de ce projet linguistique. Ayant constaté l'absence de phrases d'illustration dans les dictionnaires en ligne lors un séjour à l'étranger, l'idée germe chez cette toute nouvelle étudiante de l'Université technologique de Compiègne de développer un dictionnaire de traduction de phrases écrites et sonores.
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La FSF et l'APRIL ont engagé une réflexion pour attribuer une valeur monétaire au travail réalisé par les bénévoles du logiciel libre. La valorisation des contributions volontaires est inscrite dans les règles de comptabilisation des associations depuis douze ans, mais elle n'est pas réellement mise en oeuvre. Le capital que représente le soutien de ce bénévolat nombreux et expert n'est donc pas porté au crédit de l'association qui en bénéficie.
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Un don de 60 machines de l'IRISA a permis d'optimiser la capacité d'hébergement de la FSF et de fournir 15 machines à des acteurs défenseurs du logiciel libre. C'est le résultat de la mission de récupération et de redistribution de machines usagées que s'est fixée la FSF. Concrètement, un travail de longue haleine qui a reposé sur l'énergie des bénévoles de l'association.
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A quand la sociabilité des réseaux appliquée à la recherche sur internet ? Emmanuel Benazera, informaticien, offre une réponse avec le projet Seeks. Devant l'inertie des moteurs traditionnels à développer ce qui techniquement pouvait l'être, il a décidé de s'y mettre, convaincu que la rente publicitaire ne conduirait pas les propriétaires de moteurs traditionnels à investir dans la recherche sociale. Seeks retourne aux fondements de l'internet pour mutualiser la recherche.
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Depuis décembre 2009, il est possible d'avoir accès au code source des logiciels libres utilisés dans la Livebox d'Orange. L'opérateur a en effet mis en ligne le site lifebox-floss.com qui propose la liste et le téléchargement des logiciels libres utilisés pour les différentes versions du boîtier.
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Le 16 septembre 2009, la cour d'Appel de Paris, dans un arrêt qui fera jurisprudence, a reconnu coupable la société Edu4 de ne pas avoir fourni à son client l'AFPA les sources du Logiciel Libre VNC et d'avoir supprimé le texte de la licence GNU GPL. L'auteur de VNC n'était pas impliqué : l'AFPA a fait valoir ses droits en tant qu'utilisateur de Logiciel Libre.
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La FSF France et wecena ont signé un accord de collaboration
dont l'objet est de trouver des entreprises qui seraient prêtes, sous
la forme d'un mécénat de compétences, à faire bénéficier
l'association, et les projets scientifiques et éducatifs qu'elle
soutient, de la force de travail de ses salariés en inter-contrat.
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La FSF France a décidé d'offrir un serveur à freenode.net, afin
d'assurer la pérennité des outils de messagerie instantanée utilisés
pour les projets liés au logiciel libre. Il accueille quotidiennement
plus de 4,000 personnes.
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La FSF France, sous l'impulsion de Laurent Guerby, met à la
disposition des développeurs Logiciel Libre une ferme de compilation
unique au monde proposant plus de dix architectures différentes sur
une vingtaine de machines.
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La FSF France va renouveller auprès de la DCSSI l'autorisation d'importer en
France, d'utiliser, de commercialiser et d'exporter à l'étranger les logiciels
libres de cryptologie. Pour l'accompagner dans cette démarche, la FSF France
sollicite l'aide d'experts en cryptologie pour l'aider à remplir la partie
technique du dossier.
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SFR a décidé d'offrir à la FSF France un hébergement
gratuit, afin que l'association puisse elle-même continuer à héberger
les projets de nombreux utilisateurs et développeurs.
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336 ordinateurs serveurs d'une valeur supérieure à 300,000 euros
seront distribués cette semaine par la FSF France au nom
d'un mécène privé. Plus d'une vingtaine d'organisations françaises
en sont les bénéficiaires. Leur point commun est d'utiliser du
Logiciel Libre, le plus souvent à des fins éducatives et
scientifiques. Les étudiants lisent et modifient l'immense corpus des
Logiciels Libres coude à coude avec des chercheurs de renommée
internationale.
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